La vie des gens est parfois curieuse et ont ne sait pas toujours donné des réponses au question. Nous sommes constamment confronté à des problèmes et des choix qui sont souvent difficile. Je ne sais pas ce que je recherche mais l’avenir me le dira. Qui sait peut-être demain j’aurais mes réponses. Peut-être demain j’oserais. Mais maintenant je suis perdu. Nous sommes tous des aveugles, guidés par des aveugles, qui guident des aveugles. Et pourquoi un aveugle ne pourrait-il en guider un autre ? Jusqu’au jour où, comme le véritable aveugles, nous réalisons avec émerveillement que l’ont peut se diriger seule, guidé par sa lumière intérieur. Et que maître et enseignements sont de simple point de repères, comme les bruits du monde extérieur. Je n’arrête pas de réfléchir, à chercher ma vérité et je me dit que je devrais peut-être brillé par mon absence et laisser derrière moi ces moments de plaisir, de désire, et de douceur.
Avec des souvenirs de tendresse et d’écoute. Je devient éphémère et la je reste convaincu que la vie me défie de jour en jour. Que je n’ai pas le droit de négliger mes responsabilités et de laisser une absence dans le cœur des gens. Même si au moment présent nous sommes vulnérable et que les pulsions d’adulte nous guide vers le désire. Là, la réflexion nous arrête brutalement devant la solitude. Si je tends les mains et que mes mains soient des fils électriques et mon cœur une batterie me communiquant vie et chaleur, si je les tends à travers ces murs de pierre et sens d’autres mains relier à d’autres cœurs. Si je fait cela, y aurait-il une réponse un choc ? Non, que je désire que ces corps me communiquent leur chaleur, je n’en demande pas tant, je veux simplement m’assuré qu’il sont la, vivant, prêt à me comprendre. Rien que cela pas d’avantage. Cela serai amplement suffisant. Et dans ce contacte qui serait une preuves d’intérêt mutuel, il y aurait union d’identité, il y aurait une unité qui aiderai à vivre, une plénitude qui, durant toute ma vie ma été refusée. Cela me serai égale de mourir à présent si je peux seulement découvrir ce que tout cela signifie ce que je suis par rapport au autre personne et la terre sur laquelle je vies. Y a t il une lutte commune à tous, que je n’ai pas su voir ? Et si c’est le cas, n’est ce pas de la faute de mon inconscience ou peut-être même de ma conscience. ? C’est alors que je me retrouvent plus que jamais exposé aux brûlante rafales de la haine, je me demeure songeuse me demandant s’il n’existe pas des mots qui sont les même pour moi et pour les autre une flamme identique à celle qui me consume. Mal, ça fait mal j’ai mal, mal au bide, mal au cœur. De vivre dans ce monde que j’ai penne à suivre. Le cœur battant à tout rompre, une larme poursuit sa marche funèbre le long de ma joue grossie comme endolorie par le chagrin. Je voudrais tant en cette minute être dans la peau d’une autre pour fuir le dégoût de la vie qui m’envahi. Je ne puis envisager le suicide car certaine personne pourraient interpréter mon geste comme une forme de chantage. Si celui-ci se solde par un échec ou de la lâcheté s’il y a réussite. Je n’aime pourtant plus la vie et cela depuis un petit temps. Cette vie d’embûche me décourage tout c’est obstacle et ce malheur qui m’entourent. Cette souffrance dans ma vie. J’avoue je voudrais m’endormir pour ne plus me réveiller. Tel une morte et vivre d’un rêve bleu. Dans un monde évasif ou il n’y aurais ni règle numéraire, ni différencient entre les classe social ou la haine serait condamné d’amour et la rancune par le pardon. je cacherais l’amertume dans une manche pour sortir le bonheur de l’autre. Je ferait sortit l’amour et la paix de mon chapeau noir Sous la forme d’une colombe. Colombe de ma vie, lumière de mon âme. L’orage de mon fort intérieur pleur à en inondé toute réaction logique que devrait avoir tout homme en pareille situation. Et je prie, je prie comme je le peux. Mais je ne sait pourquoi au juste ? Destiné, fatalité ? Je dois juste survivre et continuer à combattre ces piège qu’est ma vie. Je ne sait pas je ne sait plus, je ne veux chercher à savoir ce que je ne sait la vérité la réalité pourrait peut-être me tuer. Me renfermé sur moi-même et rester dans un monde de solitude, tout en gardant ce sourire qui me permet de survivre par la séduction des autres. Pouvoir séduire et charmé sans rien faire juste garder ce désir et ce jeu de la vie. Je sais que les gens me diront que je suis dégelas, mais quoi que je fasse, je serais une crapule par mes aptitudes et ma présence.
J’ai une envie subite de fuir tous cela et me caché avec cette honte et cette angoisse. Mais je suis perdu dans ma tête et ce labyrinthe de la vie me défie sans arrêt. J’ai ce grand défaut d’être constamment à la recherche de la perfection. De ne pas être réprimandé par une faute ou un acte.
J’ai ce désire être aimer tel que je suit ne pas être critiqué et recevoir cette louange qui nous réchauffe tellement. Mais dans cette recherche je bâcle tous…
Je ne connaît pas l’avenir mais plus j’avance plus celle-ci devient difficile.
Mais n’y a –t-il pas une injustice ? Dois je accepter cette souffrance de solitude. . Que faire ? Qui a toute ces réponses, et pourquoi ?