Dans le soir qui descend
Doucement sur la mer
Le soleil disparaît, subrepticement...
Dans le noir qui s'étend
Lentement sur la terre,
Ton visage apparaît...fascinant
Enveloppé d'un seul nuage de rose,
Son sourire illume la terre entière,
Et la jalouse est la mer
Et noierait Le monde entier s'il n'en tenait qu'a peu de chose
A cet instant précis, toutes les fleurs de la terre
Se tournèrent d'un ensemble parfait
Vers ceux visage ennuagé aux yeux clairs
Que les étoiles carressaient.
mes yeux se posèrent dans les tiens
Et je me mis a penser... à rêver:
Son sourire est doux comme un ange souriant
Ses yeux sont merveilleux comme éclosent les roses
Ses courbes sont gracieuses comme la perle de la rosée
Qui coule doucement
Sur le pétale frémissant
Et le nuage s'approchait
Poussé par la risée du soir
Qui chantait dans le noir
Du soir qui grandissait
Et ton visage m'approchait...
Impercepectiblement...
Et tes yeux m'attiraient
Envoûtants...
Puis le nuage s'abaissa lentement
Puis, doucement, te posa sur la terre
Et ton corp apparut dans la lumière
De mille grâces, étincelant.
Ta beautée n'avait pas de pareille
tes yeux d'un bleu immense j'aurais voulu mais dans le noir tu étais mon ange
Auraient illuminé l'univers
Tout près, la lune et blanche et veille
Que ta silhouette resplendisse en sa lumière
Tu t'approche doucement
Ta silhouette est a deux pas
Je tend la main vers toi
Mais déjà... Tu n'es plus là
Mes paupières se soulèvent
Et l'immensité de la nui m'apparaît
Un vide étrange
me remplit de frissons
Ton absence est insoutenable
Je referme les yeux.... à jamais.
Je t'aime mon Guilhem